Le décès d’Yvonne Roux m’a fait bien de la peine car je n’oublierais pas avec quelle sympathie et chaleureuse amitié elle m’a accueillie parmi les nouveaux membres du Bureau de l’AISLF.
Symbole du lien et mémoire du groupe elle savait rapprocher les générations et les individus malgré leurs différences, créer les images communes, faire revivre des moments forts de l’histoire de l’association. Lors de la réunion de Thessalonique elle avait pris des photos et a eu la gentillesse de me les envoyer avec un petit mot plein d’humour et de complicité.
Je regrette de n’avoir pas eu l’occasion de la connaître mieux et plus longtemps. Mais les quelques moments au cours desquels nous nous sommes rencontrées restent très présents dans mon souvenir. Je crois que nous serons nombreux à la regretter.